[L]a boutique, tout en long – et qui se termine par un panier de basket – propose sur son mur gauche une sélection impressionnante de Nike et de Air Jordan, et sur son mur droit un choix pléthorique de casquettes et bonnets.
Lorsqu’on pénètre chez Flight Club, on peut ressentir un peu la même chose qu’à Wall Street, la musique de Rick Ross ou Noreaga en plus : il règne une certaine tension où les clients viennent pour trouver LA paire ultra limitée du Jumpman de 1992 ou vendre leur précieuse basket qui finira dans les vitrines au fond du magasin.
Et comme à la Bourse, une fois de plus, chaque paire à sa cote que l’on peut consulter sur le site de Flight Club. Les fluctuations sont importantes et les prix peuvent parfois s’envoler pour atteindre des milliers de dollars ou, au contraire, s’effondrer.
